martes, 18 de noviembre de 2014

Rugby

Rugby L’équipe de France L’équipe de France de rugby à XV ou XV de France est l’équipe qui représente la France dans les compétitions majeures de rugby à XV ; d’autres équipes représentent la France dans des compétitions internationales de rugby à XV : l’équipe « A » qui est une équipe réserve de l’équipe fanion, l’équipe des moins de 20 ans, l’équipe féminine, etc.[2] Elle rassemble les meilleurs joueurs de France sous le patronage de l'U.S.F.S.A. (1906-1919), puis de la Fédération française de rugby depuis 1919. En 1910, elle est admise à participer à la compétition opposant l'Irlande, l'Angleterre, l'Écosse, et le pays de Galles, qui prend à cette occasion le nom de Tournoi des Cinq Nations (appelé Tournoi dans la suite de l'article) et fait ainsi son apprentissage du rugby international en se mesurant à ces équipes; elle atteint leur niveau au milieu des années 1950 et remporte la première de ses 25 victoires dans le Tournoi en 1954. En 1968, le XV de France signe son premier Grand Chelem (huit autres suivront jusqu'en 2010) dans la compétition européenne. Sur un plan mondial, de son tout premier match en 1906 à la finale de la Coupe du monde 2011, le XV de France connait une rivalité historique avec l'Équipe de Nouvelle-Zélande, marquée par sa première victoire à l'Eden Park d'Auckland (1979), son « essai du bout du monde » victorieux en 1994 au même endroit, deux succès en Coupe du monde (demi-finale 1999 et quart de finale 2007) et deux défaites en finale de la compétition planétaire (1987 et 2011). Sur le continent européen, c'est avec l'Angleterre que la rivalité est la plus forte, les oppositions annuelles entre les deux nations ayant gagné l'appellation Le Crunch (le moment crucial). Le XV de France, trois fois finaliste de la Coupe du monde et comptant depuis plus de 50 ans parmi les meilleures équipes de rugby de la planète, a gagné au fil de son histoire la réputation de pratiquer un jeu offensif très apprécié par les amateurs de rugby à XV, en France et à l'étranger, où on l'appelle le Beau jeu ou French flair. Au 21 avril 2014, il occupe la septième place au classement des équipes nationales de rugby[3]. Cette équipe a compté de nombreux joueurs talentueux, comme Serge Blanco, Jean-Pierre Rives, Philippe Sella, Jean Prat, Jo Maso et André Boniface qui font tous partie du Temple international de la renommée du rugby.

L´information sportive du monde

RugbyL’équipe de France L’équipe de France de rugby à XV ou XV de France est l’équipe qui représente la France dans les compétitions majeures de rugby à XV ; d’autres équipes représentent la France dans des compétitions internationales de rugby à XV : l’équipe « A » qui est une équipe réserve de l’équipe fanion, l’équipe des moins de 20 ans, l’équipe féminine, etc.[2] Elle rassemble les meilleurs joueurs de France sous le patronage de l'U.S.F.S.A. (1906-1919), puis de la Fédération française de rugby depuis 1919. En 1910, elle est admise à participer à la compétition opposant l'Irlande, l'Angleterre, l'Écosse, et le pays de Galles, qui prend à cette occasion le nom de Tournoi des Cinq Nations (appelé Tournoi dans la suite de l'article) et fait ainsi son apprentissage du rugby international en se mesurant à ces équipes; elle atteint leur niveau au milieu des années 1950 et remporte la première de ses 25 victoires dans le Tournoi en 1954. En 1968, le XV de France signe son premier Grand Chelem (huit autres suivront jusqu'en 2010) dans la compétition européenne. Sur un plan mondial, de son tout premier match en 1906 à la finale de la Coupe du monde 2011, le XV de France connait une rivalité historique avec l'Équipe de Nouvelle-Zélande, marquée par sa première victoire à l'Eden Park d'Auckland (1979), son « essai du bout du monde » victorieux en 1994 au même endroit, deux succès en Coupe du monde (demi-finale 1999 et quart de finale 2007) et deux défaites en finale de la compétition planétaire (1987 et 2011). Sur le continent européen, c'est avec l'Angleterre que la rivalité est la plus forte, les oppositions annuelles entre les deux nations ayant gagné l'appellation Le Crunch (le moment crucial). Le XV de France, trois fois finaliste de la Coupe du monde et comptant depuis plus de 50 ans parmi les meilleures équipes de rugby de la planète, a gagné au fil de son histoire la réputation de pratiquer un jeu offensif très apprécié par les amateurs de rugby à XV, en France et à l'étranger, où on l'appelle le Beau jeu ou French flair. Au 21 avril 2014, il occupe la septième place au classement des équipes nationales de rugby[3]. Cette équipe a compté de nombreux joueurs talentueux, comme Serge Blanco, Jean-Pierre Rives, Philippe Sella, Jean Prat, Jo Maso et André Boniface qui font tous partie du Temple international de la renommée du rugby.

viernes, 14 de mayo de 2010

El Detective Privado


En esta última entrega sobre el cine negro hablaré del elemento que considero más importante dentro del desarrollo de este género cinematográfico. 

Si el Halcón maltés es el punto de partida consensuado del período clásico del cine negro, el detective privado fue uno de sus iconos desde el primer instante. Con independencia del calificativo que recibiera –sabueso, conejo, investigador privado-, es un personaje cuyo prototipo procedía de la escuela literaria hard-boiled, de las novelas baratas que llenaban las páginas de Dime detective y Black Mask, revistas de detectives de principios de las década de los veinte en adelante. 
El protagonista habitual de los relatos de Dashiell Hammett, era un investigador bajito, reconcho y entrado en años, aunque al autor se le recuerda sobre todo por haber creado a Sam Spade. 
Para El Halcón maltés, Hammett recurrió generosamente a sus propias experiencias. La versión estrenada en 1941 y considerada por muchos el punto de inicio del periódo clásico del cine negro era la tercera adaptación de la Warner Bros. Fue un buen augurio que, como saque inicial del ciclo, la adaptación de John Huston fuera considerada inmediatamente y hasta nuestros días la versión definitiva. Adamás, la matizada interpretación de Humphrey Bogart fijó el estándar de todos los detectives subsiguientes. 
En su ensayo El simple arte de matar, Raymond Chandler, otro clásico de las novelas de bolsillo, ofrecía lo que se ha convertido en la descripción definitiva, anteriormente citada, del detective privado en el género de la ficción. Tras la curiosa metamorfosis de su personaje Philip Marlowe, que pasa a ser el Halcón en The Falcon Takes Over (1942) y un año más tarde se convierte en Mike Shayne en Time to Hill, las cuatro primeras novelas de Chandler y su héroe sin tacha ni temor se convirtieron en ingredientes básicos del cine negro de la década de los cuarenta. 


viernes, 30 de abril de 2010

Amor a la fuga...


El arquetipo de lo que Luis Buñuel denominó amour fou, o “amor loco”, normalmente se asocia con las parejas fugitivas, y no sólo en el género negro, sino en el cine en general. Estas parejas marginales, fuera de la ley , perseguidas y sin esperanza, solían encontrar la muerte o la agonía al final de la historia.

En un estudio sobre cine negro  llamado “Paint it Black, Raymond Durgnat ofrece una pequeña reseña sobre parejas fugitivas: <>. La densidad de leprosa oculta las deficiencias de su análisis. Lo que permite, o incluso fuerza, la compasión o la identificación del espectador con estos inocentes o culpables es la propia naturaleza de la mayoría de parejas fugitivas y su amour fou: obsesiva, cargada de erotismo, más allá del simple romanticismo.

<>[1].Luis Buñuel.


[1] Silver Alain &  Ursini James, Duncan Paul, Cine Negro, Taschen, 2004 Italy, 96 p.p

domingo, 18 de abril de 2010

La mujer en el cine negro

Aunque el cine negro tiene como protagonistas a muchas mujeres. La mayoría lo son junto a una figura masculina. De Perdición a El diablo de las armas, por muy dominante que sea la mujer, no hay historia sin una figura masculina de igual prominencia: sin un hombre que destruir no hay mujer fatal. Gilda (1946) y Nora Prentiss (1947) son artistas que dan nombre al título de dos filmes. A raíz de la construcción patriarcal del cine negro, podría afirmarse de manera simplista que con su talento son capaces de cautivar a un hombre pa

ra que actúe de forma autodestructiva. Pero esos mismos relatos demuestran que Gilda y Nora son, a la vez, víctimas de una sociedad que capacita y esclaviza a las mujeres sexualmente potentes.

Muchas de las protagonistas del cine negro son también víctimas. En Almas en suplicio (1945), The Damned Don’t Cry (1952) y Suden Fear (1952), Joan Crawford interpretaba a una mujer que lograba sobrevivir pese a sufrir infortunios y traiciones. 

Tanto Norah Larkin en La gardenia azul (Fritz Lang, 1953) como Wilma Tuttle en The Accused (1949) se defienden hiriendo de muerte a un depredador sexual y, pese a ser absueltas (Norah no mata a su agresor), la narración gira dramáticamente en torno a la sensación de desesperanza de la mujer. Además, ambas son rescatadas por hombres compasivos. En La gardenia azul, el profético travelling de Lang envuelve a Norah para sugerir que no es cpaz de salir adelante sin ayuda, que sólo un hombre puede rescatarla de un torbellino de fatalidades. Otras mujeres, como Paula Alquist en Luz que agoniza (1944) o Leslie Calvin en Aguas Turbias (1946), son presas del ataque psicológico debido a su perturbación emocional. Pero quizá el ejemplo más extremo sea el primer film noir de Joseph H. Lewis, My name is Julia Ross (1945), en el que la figura del título es drogada, secuestrada y forzada a asumir una nueva identidad.

Mentira latente (1952), adaptación de la novela de Cornell Woolrich I Married a Dead Man, presenta una perversa trama en la que una indigente recibe la oportunidad de suplantar a una joven y rica esposa. No obstante, el director Mitchell Leiden hace más hincapié en el melodrama que en el fatalismo.

A diferencia de Nora Prentiss o Gilda, o de Petey Brown, Lucia Harper (Almas desnudas, 1949) no actúa en un club nocturno ni tiene un pasado oscuro. Más bien lleva una cómoda vida en Balboa, California, junto a su esposo, sus hijos, su suegro, un ama de llaves y sus mascotas. Hasta que un gran problema llama a su puerta; su hija adolescente, Bea, se ha enamorado de un hombre mayor, Darby, que ha muerto. 

Lucia Harper - Joan Bennett, quien también interpretó a la mujer fatal de La mujer del cuadro y Perversidad (1945)  - es una mujer normal, sin glamour ni astucia. Un poco como las mujeres de Alma en suplicio o The Accused, la ironía de su situación no es su inocencia, sino que sus valores de clase media le impiden reflexionar antes de ocultar una muerte accidental. La decisión de Lucia de intentar proteger a su familia es un instinto maternal, perfectamente comprensible.

 

viernes, 2 de abril de 2010

Cine negro: Características.


En esta segunda publicación me daré a la tarea de hablar de las características que hacen tan singular a esta corriente cinematográfica.  

¿Cuáles son los temas que toca el Film Noir? 

La temática, el pasado angustioso. Los personajes del cine negro raramente son criaturas de la luz. A menudo escapan de una carga del pasado, a veces un episodio traumático, y otras un crimen pasional. En ocasiones simplemente huyen de sus propios demonios, creados por ambiguos acontecimientos enterrados en el pasado. Sea cual sea el origen del problema, los personajes se ocultan en los oscuros callejones y cuartuchos que tanto proliferan en el mundo del cine negro. Para los protagonistas, el pasado no es un fantasma efímero, sino tangible y amenazador. Uno no puede escapar de su pasado, y sólo afrontándolo podrá esperar algún tipo de redención, aunque sea exponiéndose a un revólver.

La pesadilla fatalista. El cine negro gira en torno a la causalidad. Los acontecimientos se entrelazan, como una cadena irrompible que conduce inevitablemente a un final más que anunciado. Es un universo determinista en el que la psicología e incluso las estructuras de la sociedad pueden, en último término, anular las posibles buenas intenciones o las esperanzas de los protagonistas. 

¿Cómo son los personajes de este género? 

El cine negro cuenta con sus propios caracteres, entre los que destacan:

El buscador de la verdad. Suele tratarse de un policía o un criminal, raramente una mujer,  casi nunca un investigador privado. El buscador de la verdad puede llevar distintos disfraces, ya que su objetivo principal es navegar por el convulso laberinto del universo negro en busca de una respuesta crítica, quizás para acabar descubriendo que el objeto de la búsqueda es “el gran secreto”.

El perseguido. El protagonista, fruto de la influencia del existencialismo combinado con el fatalismo inherente a gran parte del expresionismo alemán, a menudo es perseguido y acorralado desde el principio hasta el final de una película. Suele ser un hombre y un extraño. Tiene dificultades para conectar con un universo que parece verse arrastrado a actos criminales de rebelión que desafíen tanta absurdidad.

La mujer fatal. El elemento más subversivo de la mayoría de filmes del cine negro es el personaje femenino, a menudo una mujer fatal.  Bajo el ojo masculino se le percibe como: la viuda negra, la mujer araña, de la percepción masculina, que las veía como brujas malvadas y castradoras. También se entiende su personaje  como poderoso y seductor, que proporcionan una posible alternativa al rebelde masculino.  Para la mujer fatal, el objeto de escarnio, más que un universo absurdo, es el patriarcado masculino. 

¿Cuáles son los elementos visuales del cine negro?

-       La iluminación de claroscuros. La iluminación de baja intensidad. Sombras y luces no sólo pugnan en exteriores nocturnos, sino también en oscuros interiores protegidos de la luz del día por cortinas o persianas de lamas. La luz lateral, intensa y sin filtros, así como la luz de los contornos, revela únicamente parte del rostro para crear, por sí sola, tensión dramática. La cámara de directores de fotografía como Nicholas Musuraca, John F. Seitz o John Alton eleva dicho estilo a sus cotas máximas en filmes como Retorno al pasado,  Perdición y La brigada suicida. Su fotografía en blanco y negro con marcados contrastes, crudos exteriores diurnos y un trabajo nocturno de gran realismo se convirtió en estándar del estilo negro.

-       Los ángulos insólitos. Los directores de fotografía  del cine negro favorecían  los ángulos bajos  por varios motivos. Para empezar, conseguían que los personajes se elevaran del suelo de forma casi expresionista, lo que les confería un contorno dramático y un trasfondo simbólico. Además, permitían al espectador ver los techos de los interiores, lo que creaba una mayor sensación de claustrofobia y paranoia, emociones apropiadas para el universo negro. Los ángulos altos también podían producir desequilibrio; una ojeada al hueco de una escalera por encima de un endeble pasamanos o de la ventana de un rascacielos hacia la lejana calle.

-       La cámara en movimiento. Para directores como Ophüls o Lang, la cámara que se desliza por una habitación dejando atrás un gran desorden en primer plano, o que sigue a un personaje en un café abarrotado, tenía una calidad despiadada y funesta. Combinada con una toma larga, realzaba sutilmente las secuencias de suspense.

-       El paisaje urbano. El cine negro suele ubicarse en un paisaje urbano, concretamente en las ciudades de Los Angeles, Nueva York y San Francisco. La metrópolis, con sus círculos de luz bajo las farolas, sus oscuros callejones, los peatones sombríos, las calles húmedas y mugrientas, es el entorno perfecto para los angustiosos sucesos propios del género. 

El Flashback y la cámara subjetiva. Tanto si es introducido por un efecto de ondulación o simplemente por un corte brusco, el pasado invade de forma palpable estos largometrajes a través de la técnica del flashback. Puede estar infiltrado por el punto de vista de un solo personaje o ser ostentablemente objetivo y distanciado. Esta visión del pasado puede mostrar la realidad de un modo mucho más efectivo que toda ka narración del mundo. 

miércoles, 17 de marzo de 2010

Confiabilidad de las fuetes de internet

Realizar la actividad anterior me hizo darme cuenta de pequeños detalles que olvidamos al momento de usar Internet como una herramienta de búsqueda de información. Sinceramente yo aún prefiero buscar de manera tradicional en libros, ya que confió más en ellos que en el mundo de la cibernética. La desconfianza hacia este medio es precisamente que no estamos seguros de quien escribe y si lo que esta en la página es cierto. 

Los concejos que nos ha proporcionado la profesora me parecen realmente muy interesantes como por ejemplo: checar la actualización de la página que visitamos una de las cosas que nulamente hacemos cuando estamos navegando, identificar los datos del autor de la página que en mi caso nunca me fijo tanto en eso, lo que si me había fijado acerca de los lugares donde buscamos información es que hay varios que están cundidos de anuncios publicitarios la mayoría de páginas sobre conocer gente, entre otras. Sitios más formales como  La real Academia Española es sencillo observar que la publicidad es nula y que cumplen con los datos mencionados arriba. 

Aunque cuando uso Internet como herramienta de búsqueda frecuento páginas de instituciones (periódicos en línea, instituciones gubernamentales, revistas, etc.) que ya cuentan con un prestigió en el tema con el que están trabajando. De esa manera me siento más tranquila al usar un dato de algún sitio de internet. No niego que algunas veces cuando busco dar una idea sobre algo o alguien reviso wikipedia aunque siempre con la incertidumbre de no saber si estoy frente algo cierto o manipulado por cualquier persona. Una actitud algo paranoica pero así es mi historia. 

Por ahora es todo. Pero nos vemos mañana en la clase. 


Esta actividad no fue realizada en clase pero aún así me pareció interesante realizarla. Saludos Gina!'